« Le PDG de Pfizer, Albert Bourla, a allumé les bougies de Hanoukka lors d’une cérémonie virtuelle organisée par l’ambassade d’Israël à Washington mercredi soir, quelques jours seulement après que son entreprise pharmaceutique a reçu le feu vert final pour distribuer son vaccin contre le coronavirus à travers les États-Unis.
En présentant Bourla, l’ambassadeur Ron Dermer a souligné que le dirigeant d’entreprise est également le fils de survivants de la Shoah, car ses parents étaient parmi les rares juifs de Thessalonique, en Grèce, à avoir survécu aux horreurs perpétrées par les nazis. »
Ainsi commence l’article de The Times of Israël en français.
Le fils de survivants (de la Shoah) et accessoirement PDG du groupe Pfizer, « présent dans plus de 150 pays, le leader mondial dans son secteur avec un chiffre d’affaires s’élevant à 51,58 milliards de dollars, une capitalisation boursière de 181 milliards de dollars US en septembre 2012 et des effectifs de 81 800 employés dans le monde, dont 3 000 en France » selon Wikipédia, a été l’objet d’un parallèle étonnant, voire un amalgame entre la Shoah et le vaccin, ou entre la Shoah et le Covid-19, sinon entre le nazisme et le Covid, par l’ambassadeur israélien aux États-Unis Ron Dermer :
« Soixante-quinze ans après que les nazis ont assassiné des millions de personnes, le Dr Bourla mène aujourd’hui la course pour en sauver des millions... En cette fête de Hanoukka, alors que cette année extrêmement difficile touche à sa fin et que nous nous tournons vers un nouveau départ, nous célébrons à la fois l’incroyable esprit humain et la détermination qu’il a fallu pour créer le vaccin COVID-19 et la façon dont ces efforts ont rendu possible l’impossible – mettre au point un vaccin si rapidement. »
Happy 7th night of #Hanukkah !
Thanks to @Pfizer & CEO Dr. @AlbertBourla, the end of the #COVID19 pandemic is in sight as#vaccines roll out globally.We owe Dr. Bourla & Pfizer a debt of gratitude, and are honored to have him light tonight's candles. pic.twitter.com/Ncb0HO61wA
— Embassy of Israel (@IsraelinUSA) December 16, 2020
Rappel : Albert Bourla est ce PDG très bien renseigné qui a vendu pour 5,6 millions de dollars d’actions de son propre labo le jour où les soi-disant bons résultats de son vaccin ont été rendus publics... L’action Pfizer a fait un bond de 7 % dans la journée, ce qui a produit un bénéfice potentiel de 400 000 dollars.
L’excuse (ou l’explication) officielle de ce qui ressemble à un délit d’initié avancée par le groupe pharmaceutique ne manque pas de piquant :
Selon un porte-parole cité sur le site de CNN, ces transactions étaient déjà partie intégrantes d’un plan de désinvestissement périodique mis en place par le patron du groupe lorsque le titre atteint un certain prix. Ces cessions à ce prix auraient été programmées dans le cadre de leur gestion financière personnelle, depuis août 2019 pour le PDG Albert Bourla et depuis novembre 2019 pour la vice-présidente. (jeanmarcmorandini.com)
D’aucuns pourraient imaginer, avec un tel « alibi », que l’opération « Covid » était peut-être prévue de longue date, ce que semble montrer le rapport de la Fondation Rockefeller établi en 2010 ou même l’Event 201 de Bill Gates et le Forum économique mondial en octobre 2019. Même sous-entendu, mais avec des pincettes, du chercheur et prix Nobel de médecine 2008 [1] Luc Montagnier, qui a été vertement attaqué à cause de sa prise de position non conforme à l’agenda mondialiste et à la politique sanitaire.
« Nous sommes tous convaincus qu’il y a eu aussi fabrication »
Or, un virus, comme un vaccin, ne se fabrique pas en un jour, ni en un an. Le SARS est à l’étude depuis les années 2000, dit-il, et le laboratoire de Wuhan « avait toute l’expertise en biologie moléculaire », sous-entendu, là encore, pour fabriquer un tel virus, ou le laisser échapper par inadvertance, accident ou autre raison.