L’association créée, il y a tout juste quatre mois, par le sociologue et essayiste Alain Soral, s’est toujours proposé de rassembler, non point les républicains, mais les Français des deux rives, ceux de gauche et de droite, ceux de souche et ceux de branche. Un pari en voie d’être réussi, à en juger de l’affluence de ce week-end dernier. Avec Jean-Marie Le Pen en invité d’honneur.
L’occasion pour le président du Front national de déclarer : « J’ai toujours été favorable à la création de structures de réflexion indépendantes, ayant conscience qu’elles peuvent difficilement prospérer dans le cadre très étroit des partis politiques. Ceux-ci ont en effet, par nature, le nez dans le guidon des échéances électorales, fondamentales pour mesurer leur influence ou permettre leur financement. À ce titre, les formations n’ont le plus souvent ni le temps ni les moyens de se consacrer à l’analyse de fond. De surcroît, celle-ci suppose une certaine indépendance d’esprit et de moyens, qui, il faut bien le dire, ne colle pas nécessairement aux règles du fonctionnement partisan. Je tiens donc à féliciter l’ensemble des intervenants à cette université, ainsi que les maîtres d’oeuvre d’Égalité et Réconciliation, cet institut d’avant-garde crée et animé par Alain Soral. Vous avez engagé, je le sais, une réflexion très large sur les problèmes politiques du temps présent, et notamment sur les moyens de résoudre les difficultés humaines et relationnelles qui naissent de l’immigration incontrôlée en France et en Europe. »
Marc George, l’organisateur de cette université, a ce mot : « C’est ce que j’appelle un mouvement indépendantiste français ! »
L’occasion pour le président du Front national de déclarer : « J’ai toujours été favorable à la création de structures de réflexion indépendantes, ayant conscience qu’elles peuvent difficilement prospérer dans le cadre très étroit des partis politiques. Ceux-ci ont en effet, par nature, le nez dans le guidon des échéances électorales, fondamentales pour mesurer leur influence ou permettre leur financement. À ce titre, les formations n’ont le plus souvent ni le temps ni les moyens de se consacrer à l’analyse de fond. De surcroît, celle-ci suppose une certaine indépendance d’esprit et de moyens, qui, il faut bien le dire, ne colle pas nécessairement aux règles du fonctionnement partisan. Je tiens donc à féliciter l’ensemble des intervenants à cette université, ainsi que les maîtres d’oeuvre d’Égalité et Réconciliation, cet institut d’avant-garde crée et animé par Alain Soral. Vous avez engagé, je le sais, une réflexion très large sur les problèmes politiques du temps présent, et notamment sur les moyens de résoudre les difficultés humaines et relationnelles qui naissent de l’immigration incontrôlée en France et en Europe. »
Marc George, l’organisateur de cette université, a ce mot : « C’est ce que j’appelle un mouvement indépendantiste français ! »