Akim Omiri fait partie de l’équipe de France Inter qui a été virée par la direction sioniste de la radio pseudo-publique. C’est un gauchiste, mais parfois, il tape juste. Quand les gauchistes sont bons, c’est accidentel mais providentiel. On dira qu’il a un cerveau gauche, et un cerveau droit.
Quoi ? Les politiques et les médias mentent ??
Mais s’il y a bien une vérité à retenir c’est qu’@AkimOmiri sera dès demain à l’antenne de Radio Nova à 12h30 pour la première chronique quotidienne de « La riposte » !
Akim Omiri et sa bande d’experts dans « La riposte », du lundi… pic.twitter.com/e0XifuFY3C
— Radio Nova (@laRadioNova) March 17, 2025
Meurice et Barré rient de bon cœur aux blagues de leur collègue d’origine algérienne, donc pas française. Ont-ils au moins vérifié qu’il ne portait pas de couteau sur lui ? Omiri est né selon Wikipédia en 1985 en France, pour d’autres en 1987 en Algérie. Qui est le vrai Akim Omiri ?
Son nouveau spectacle a été monté en collaboration avec Kader Aoun, antisioniste réputé (voir ci-dessous l’extrait Les collabeurs de Nabe) et ex-mentor de Jamel, avec qui il s’est brouillé (pour une histoire de millions disparus dans le théâtre du Comedy Club). De plus, Omiri a osé signer l’appel Artistes pour la Palestine – France, c’est donc forcément un terroriste !
« C’est là que je suis tombé dessus l’après-midi, rue du Four. Il y avait Jamel Debbouze avec ses gardes du corps et Abdel-Kader Aoun aussi... Kader Aoun, c’est le bras droit de Jamel, si j’ose dire. C’est lui sa conscience politique. Juste ce qu’il faut, pas trop quand même. Il m’aime bien Kader, il me l’a dit. Seulement, il trouve que je manque de « finesse » (sic !). « Il faut y aller petit à petit, pas aussi frontalement que toi. » Kader me dit aussi que son idole, c’est Mohamed Ali. C’est peut-être parce qu’il tremble... Trente ans de retard ! Moi, ce serait plutôt Mohammed Atta. Jamel nous écoute, il porte une espèce de jaquette rouge en feutrine et une casquette orange. Toi, tu saignes de la littérature. »
Humoristes pré et post-dystopiques
Avant, c’est-à-dire avant la dystopie, avant l’avènement de Macron et de la Bête de l’événement, on faisait de l’humour avec de la politique (exception faite de Dieudonné) ; aujourd’hui, de plus en plus font de la politique avec de l’humour, ce qui est beaucoup plus structuré, donc plus puissant à l’arrivée. La vanne ne part pas d’un pistolet à bouchon, mais d’une bouche à feu de 155 mm.
Les humoristes à l’ancienne sont en train de disparaître, parce que leur discours ne ressemble plus à la réalité : il correspond à l’ancienne réalité, il n’est plus d’actualité. Certes, il y a et aura toujours des Jamel et des Gad Elmaleh pour les retardataires, mais ils sont associés au « vieux monde », comme disait Dieudonné.
Akim Omiri a raison de dire que les humoristes font aujourd’hui le travail des journalistes, qui sont tenus. On remarque que la liberté éditoriale qui a été interdite ici rejaillit là. Il en sera toujours ainsi, on ne peut empêcher les gens de penser ni de s’exprimer, malgré les efforts des Yadan de France et de Navarre.
Le combat de Yadan, qui consiste à écoper un océan à la petite cuillère, est perdu d’avance. Et c’est justement parce qu’elle cherche à interdire le discours de vérité que ce discours se durcit, et pas l’inverse. Elle croit lutter contre l’antisémitisme qui monte, alors que l’antisémitisme – enfin, ce qu’elle appelle l’antisémitisme – monte parce que Yadan lutte contre la liberté d’expression, nuance.
Ce qu’ils appellent l’antisémitisme, c’est tout simplement la lutte pour la liberté d’expression. Si tu l’interdis à un endroit, les globules blancs (ou T4) de la liberté d’expression vont s’y précipiter et s’y agglomérer, augmenter la tension, pour éliminer l’interdit. C’est un processus naturel à la fois micro et macro, métabolique et sociétal.