Cet an de disgrâce 2020 aura été celui des voleurs et des dupes. Les voleurs sont ceux qui volèrent au peuple américain leurs élections et à nous autres piteux hexagonaux, une année de précieuse vie au prétexte fortement exagéré de protéger notre prochain d’une létale contamination… Jusqu’au jour où il apparut que seuls ou presque les grands vieillards – quatre-vingt-quatre ans en moyenne, un bel âge ! – pâtissaient d’un virus dont il est de plus en plus patent qu’il serait une sorte d’invisible Frankenstein échappé – ou exfiltré ? – d’un laboratoire humain, trop humain… Un invisible Golem américain, chinois, français ? L’on n’en sait trop rien, reste qu’une telle origine expliquerait sa capacité (spontanée ou non… parce que la malice va se nicher là où on l’y attend le moins, n’est-ce pas ?) à se transformer, à muter ou à se recombiner. Si bien que l’on dut faire face à une très improbable (c’est-à-dire démentant toutes les connaissances classiques en matière épidémiologique) deuxième vague, puis peut-être une troisième avec un reconfinement plus sévère encore. De quoi en affoler plus d’un et conduire les foules à quémander la tête basse la grâce insigne de se faire piquer, vacciner puis bientôt pucer pour une meilleure traçabilité de contagiosité. Il y a une trentaine d’années un physicien de mes connaissances le prédisait déjà. Je n’y croyais pas. Eh bien nous y sommes, et la réalité dépasse de très loin les plus extravagantes fictions. Dans une telle occurrence on peut finalement se demander si ces vagues successives, si utiles aux progrès d’un mondialisme coercitif, finiront par cesser tant elles sont utiles à museler des peuples – au propre comme au figuré – et à leur faire accepter l’inacceptable.
Il est vrai qu’un demi-siècle d’abrutissement télévisuel à hautes doses a amplement contribué à préparer les cervelles dont bon nombre semblent non seulement s’en accommoder mais, pire, y avoir pris goût ! Avec La Boétie et sa stigmatisation de la servitude volontaire (1574/76) nous devrions ne plus être surpris quant aux expressions insolites de la nature humaine et à leur permanence dans ses alternances de petits hauts et de grands bas. Un jour pétainiste, le lendemain gaulliste, le surlendemain unanimement Charlie… À ce titre n’identifions pas la confondante docilité dont font preuve nos concitoyens avec une quelconque forme de discipline sociale : cette dernière est consentie, l’autre n’est que vile soumission… L’appétence pour le retour au marais primitif ne date pas d’hier et « l’en même temps » macronien traduit opportunément la double nature de l’humain – amphibienne, dirons-nous – lequel a du mal à s’arracher à la matrice amniotique pour venir à la surface respirer l’air de la liberté assumée. Voyons dans ce phénomène la négation même du principe démocratique tel qu’il paraît flotter au-dessus des têtes dans le firmament républicain. Constatons ici que la crise sanitaire a vite laissé place à un régime de sécurité sanitaire (la Suède en étant le parfait contre-exemple, quoi qu’en disent les mauvaises langues dénigreuses) dérivant allègrement toujours plus loin vers un système sécuritaire tout court. Néanmoins, il nous faut considérer le flacon dans sa partie pleine et non dans le vide qui le surmonte ; aussi observons-nous une sourde résistance collective se manifestant entre autres – nous ne parlons pas de ces petits commerçants, bistrotiers et autres qui mendient des aménagements de distanciation sans avoir un instant l’idée de remettre en cause la politique cynique de liquidation des classes moyennes dans leur ensemble – par un laxisme croissant dans le port de la muselière hygiénique ? Rares sont désormais ceux, la lassitude aidant, qui se permettent encore une réflexion désobligeante devant un nez dénudé. Bien entendu, restent les irréductibles, les shérifs spontanés de la foi covidesque, les psychorigides à tous crins, soit la cohorte de tous les fanatismes embryonnaires.
La logorrhée obscène des médias
Assurément, la logorrhée obscène des médias se déverse à jets continus sur ceux qui ont l’imprudence – ou un goût morbide pour la putasserie intellectuelle – de se vautrer devant leur lucarnes ex-cathodiques (devenus des écrans plasma) dont la vocation première est d’entretenir ces peurs paniques si pratiques au service des dérives totalitaristes de la démocrature montante… Les cadavres ne jonchent pas les rues, mais à entendre les plumitifs de malheur, c’est tout comme ! Un pékin russe de base nous avait pourtant prévenus : si vous voulez vous débarrasser du Covid, éteignez la télé ! Mais la médiacratie remplit un rôle fondamental pour le Système (à savoir annihiler toute faculté de discernement autonome de l’esprit humain) en amont des officines de guerre psychologique et des « cellules de lutte cybernétique contre tous commentaires anti-vaccins » mises en place par les service spécialisés (dont certaines appartiennent au secteur de la Défense) du Canada, des États-Unis, du Royaume-Uni, de l’Australie et de la Nouvelle-Zélande. Soit les gouvernements des « Five Eyes » ou « Cinq Yeux », ceux du programme Echelon, autrement dit les écoutes globales de la National Security Agency et de Big Data… Plus la France, l’ineffable fille aînée de l’Église du Septième Jour de l’Unification Universelle.
Reste malgré tout quelques hommes de bons sens parmi les politiques – et un certain nombre sur le Continent noir – qui ne se sont pas laissés noyés par le torrent de la psychose pandémique qu’orchestre les médias et tous les tenants de la médecine protocolaire, médecine standardisée couchant tous les patients sur le lit de Procuste de cahiers des charges en grande partie uniformisés, indépendamment des races, des classes, des modes de vie, des hérédités, des milieux et des patrimoines phylogénétiques… Il ne s’agit plus de soigner au sens propre, mais d’industrialiser la médecine… jusqu’à l’absurde et au ridicule : un député autrichien ne vient-il pas, à la tribune, de tester positif une canette de Coca-Cola ? De la même façon, en mai dernier, le président tanzanien, John Magufuli, livrait à un laboratoire d’analyse des échantillons anonymes provenant d’une papaye et d’une chèvre qui tous les deux se révélèrent positifs ! C’est dire la fiabilité des tests sur lesquels, prétendument, reposent les décisions d’enfermement des populations ou de relâchement temporaire du garrot. M. Macron n’avait-il d’ailleurs pas annoncé « 400 000 morts » à l’issue de la seconde vague ? Mais plus c’est énorme et plus les imaginations en sortent profondément marquées, disponibles, perméables… et plus la politique du père Ubu est louée et admirée.
Le saint Graal vaccinal
Cela aboutit à ce que tous communient dans le saint Graal vaccinal et le salut sanitaire (non expressément garanti) pour tous. Parce que simplement soigner avec les moyens simples – mais efficaces tels l’hydroxychloroquine – qui sont à notre disposition, il n’en est point question. On ne prescrit pas les médicaments qui guérissent et assurément mieux vaut transformer nos anciens en cobayes en les mettant en première ligne vaccinale… Puisque de toutes les façons ils n’ont qu’une espérance de vie résiduelle ! Dans le pire des cas, ils disparaîtront sans faire de bruit. M. Dupont-Aignan en juin 2020 dénonçait au grand dam des censeurs un décret du 29 mars autorisant l’usage extensif en soins palliatifs – aussi bien par la médecine de ville – du Rivotril, un puissant sédatif qui aurait au final expédié ad patres quelque huit mille de nos vieux qui se sont éteints dans le silence et la solitude pré-sépulcrale des Établissements d’hébergement pour personnes dépendantes. Autrement dit des mouroirs où, faute de soins appropriés, ils furent piqués… comme des chiens.
Dur à dire et à entendre, et pourtant ! Or, cette sinistre situation pourrait se prolonger avec l’administration de ce qu’on appelle – par un très condamnable abus de langage – une vaccination, alors qu’il s’agit en réalité d’une « thérapie génique » via un acide ribonucléique messager utilisé en tant que vecteur… le seul vaccin classique (et en l’espèce recommandable) étant le produit made in China que les autorités sanitaires mondialisées se gardent bien de diffuser afin de ne pas concurrencer le prototype bricolé du judéo-protestant Pfizer ou de l’israélo-américain Moderna… ce dernier assurant – au contraire du premier – une immunité de trois mois… Fantastique ! Car en ce qui concerne l’autre, on ne sait rien. On fonce tête baissée dans le brouillard ainsi que l’avouait môssieur Vaccin, alias le Pr Fisher (président de la fondations Rothschild pour la science, et bien entendu, sans aucun lien d’intérêt avec Moderna), le 3 décembre au cours d’une « éclairante » conférence de presse aux côtés du Premier ministre : « … dernier point critique, est de savoir si le vaccin protège l’individu vacciné contre l’infection et, espérons-le, contre l’infection grave » !?! Même son de cloche (c’est le cas de le dire !) chez M. Véran, ci-devant ministre de la Santé, qui confesse lui également ne pas savoir si le vaccin protège « des formes graves de la maladie… [et] on ne connaît pas encore son impact sur la transmission du virus ». Puisque ces gens ne savent rien, ils devraient se taire pour le moins et ne pas jeter des milliards d’argent public par la fenêtre en dépenses pour des substances vaccinales a priori peu sûres, comportant d’indéniables risques pour la santé des patients mais garantissant de prodigieux gains pour les industriels avisés voguant entre Londres, New York ou Tel-Aviv.
Effets secondaires et dommages collatéraux
Bref, nous avons en fin de comptes totale liberté de choisir entre la peste et le choléra injectable. Au choix, bon choix ! Au demeurant, d’intempestives voix susurrent ici et là que tout ne serait pas nécessairement rose au pays de Cocagne de Big Pharma : dès les premiers jours l’on a évoqué au Royaume-Uni quatre cas de dystrophie faciale et d’autres attaques neurologiques moins anodines… Et puis maintenant, ce 20 décembre, un étrange envoyé spécial de France Culture mettait les pieds dans le plat, signalant qu’en Suède les réticences vaccinales s’expriment au grand jour après l’épidémie de cas de narcolepsie – une affection incurable touchant surtout les jeunes classes d’âge – apparue en 2009 après la vaccination contre la grippe porcine H1N1. Toutefois pour parvenir à leurs fins idéologiques ou satisfaire d’impérieux appétits financiers, tout est bon et peu importe quels dégâts collatéraux cela engendre. Le prix à payer, dit-on – avec la plus cynique inconscience –, pour sauver la vie de nos seniors, ceux-là mêmes que l’on immolait sans hésitation au printemps.
Le 19 décembre, les CDC (Centers for Disease Control and Prevention) indiquaient dans un rapport que 3150 des 112 807 personnes vaccinées au Royaume-Uni avaient été victimes d’impacts sur la santé après avoir reçu, entre le 14 et le 18 décembre 2020, la dose préliminaire de vaccin contre le Covid-19. Pour sa part, le 1er décembre, un ancien responsable de la recherche respiratoire de Pfizer, le Dr Michael Yeadon et le spécialiste de pneumologie et ancien chef du Département de santé publique, le Dr Wolfgang Wodarg, déposaient une demande auprès de l’EMA, l’Agence européenne du médicament, demandant la suspension immédiate de toutes les études sur le vaccin anti SRAS-CoV-2, en particulier l’étude BioNtech/Pfizer, ce vaccin contenant une protéine de pointe appelée syncytine-1, vitale chez la femme pour la formation du placenta humain. Si le vaccin devait opérer en déterminant une réponse immunitaire contre la protéine de pointe, cela aboutirait à ce que l’organisme féminin considère la syncytine-1 comme un corps étranger et la détruise… ceci se concluant alors par une infertilité d’une durée indéterminée. Dire que certains complotistes à l’esprit tordu voyaient un lien entre vaccination et réduction de la population mondiale !
Dans une tribune publiée sur son site en mai 2009, sous le titre « Changer par précaution », en pleine crise de grippe A-H1N1, l’écrivassier et prétendu économiste, Jacques Attali, avait annoncé – prophétiquement ou prémonitoirement ? – une future crise pandémique : « L’Histoire nous apprend que l’humanité n’évolue significativement que quand elle a vraiment peur. Elle met d’abord des mécanismes de défense parfois intolérables… parfois efficaces… Puis une fois la crise passée, elle transforme ces mécanismes pour les rendre compatibles avec la liberté individuelle, et les inscrire dans une politique de santé démocratique. » La peur est aujourd’hui indéniablement partie prenante de la culture d’entreprise de notre belle Start-up Nation.
En attendant, dans nos sociétés pandémisées, le progrès sociétal n’arrête pas d’avancer à grands pas… L’Espagne vient de légaliser l’euthanasie – ce que nous avons établi de facto à l’occasion de la crise sanitaire et de la libéralisation du Rivotril & Cie – et la Suisse s’est mise au goût du jour en acquiesçant aux mariages entre individus du même sexe… Quant à la Cour suprême brésilienne, elle a autorisé le 17 décembre les autorités régionales et locales à légiférer afin de rendre le vaccin anti-Covid obligatoire, notamment en imposant des restrictions à ceux qui refuseront de le prendre… Ce qui nous pend évidemment au nez ! Pour finir, la Commission européenne, selon un plan d’action présenté le 24 novembre 2020 « pour l’intégration et l’inclusion » – ah les doux mots enchanteurs ! –, voudrait régulariser 34 millions de migrants plus ou moins légaux-clandestins parce que « cela sera nécessaire et profitable pour des raisons économiques ». M. Soros, le grand ami du genre humain, l’homme de la « sociétés ouverte », ne voulait-il pas également rendre l’installation de migrants en Europe permanente et obligatoire ? Exigeant que nous accueillions « au moins un million de demandeurs d’asile par an dans un avenir prévisible ». Migrants, demandeurs d’asile, réfugiés, tous du pareil au même. Ah, les beaux jours qui nous attendent, coincés que nous serons entre parasites sociaux nantis du revenus universel, migrants et Covid-21, une virose de meilleure qualité et plus létale – c’est promis – que la précédente ! _ Conspirationnistes de tous bords et de tous pays, unissez-vous. Il est temps. Bonne Année 2021 !