Peut être que la crise est une chance.
Cette consommation de masse n’aura plus lieu, tous à poil... du moins dans les coins "hors sol" que sont les villes.
Enfin, je ne verrai plus ces drôles de musulmans (avec l’habit et tout comme tartuffe) qui discute au pied et après la mosquée avec des "...je m’en bas les couilles...". Comment ce genre de vocabulaire peut il sortir après le lieu ou on se ressource spirituellement ?
Mais face à la crise ou aura quoi :
* de la violence
* une forme de repentance "pardon, Allah je me suis perdu", "pardon ci, ça..."
La première est la facilité et est promue par le mal. L’Homme fait souvent des erreurs avant de trouver la voie.
Regagnons la campagne, ce n’est pas un hasard, c’est où LVMH ou Hermès trouve ces ressources pour faire de la bonne qualité française et poser ses nouvelles usines (si rares de nos jours).
Elles disent pudiquement "que c’est l’éloge de la lenteur", pour mieux masquer la vérité, qui est cette culture du labeur du durable, d’une manière du génie français encore préservé.
Génie qu’on ne trouve guère dans les villes trop cosmopolites.