L’actrice Sarah Grappin révèle sa "relation perverse" (de 1994) avec le réalisateur Alain Corneau
17 février 18:11, par gc
En 2008, J. Godreche avait 36 ans, si on en croit Wikipedia (née en 1972).
Playboy, c’est limite déshonneur, ou désespoir dû à l’absence de propositions de rôles. La photo de couverture suggère une femme très jeune, qu’elle n’est plus, d’où le chômage.
Alain Corneau a un peu aidé à pousser JG dans cette ornière. Elle n’a pas pu grandir convenablement, prématurément occupée par le Corneau, qui a réduit sa valeur à la fraîcheur. Les filles ont une caractéristique atavique : l’adaptation au conjoint, sur lequel elles ont tendance à se mouler. Il ne faut pas qu’elles se marient trop tôt.
Les exigences de Corneau s’arrêtant aux satisfactions que lui procurait l’extrême jeunesse de JG, celle-ci s’est arrêtée à ce rôle, comme une esclave choyée, finalement.
Pas d’affirmation d’identité, pas de confrontation avec le père et la mère, pas d’études, pas de camaraderie avec les adolescents de son âge.
Et voilà, on finit en couv de Playboy, récupérée en somme.
Corneau DEVAIT y penser. Il est arrivé à JG ce qui est arrivé à la Lolita de Nabokov, laquelle finit mieux que JG, mais pas brillamment non plus : inculte, pas heureuse.