Macron veut la guerre contre la Russie pour effacer son désastre social
4 février 19:04, par Lames d’acierLe capitalisme, c’est la guerre après une crise sans solutions. Nous avons déjà eu un avant-goût de ce qui ressemble à une économie de guerre : c’était pendant le confinement et la saison blanche de l’hiver 2021, dans les stations de ski. Les peuples sont dans le déni.La guerre contre la Russie représente un danger pour les mondialistes car Poutine a les moyens de raser New York avec son fameux missile intercontinental long de 27 m qui voyage en zigzag,à Mach 27 pour éviter les radars, doté d’une ogive nucléaire logée dans sa tête d’une puissance infiniment supérieure à la bombe d’Hiroshima. Les mondialistes annoncent toujours ce qu’ils vont faire. Parfois, c’est par la bouche de Macron. Leur but , c’est de dépecer la Russie. La croissance de 3 % des US est à comparer aux 0,9 % d’une UE coupée du gaz russe bon marché et plombée par les délocalisations des entreprises allemandes dont les revenus contribuent désormais au PIB américain. Ces 3 % de croissance, encensés par la finance, sont une fumisterie reposant sur les sables mouvants de 100 000 milliards de dettes et 3000 milliards de déficit budgétaire. L’occident ne produit plus que de la dette et la dette ne se résorbe que par la guerre. La croissance, c’est surtout celle des profits des sociétés de l’IA générative. Les autres entreprises voient leurs revenus stagner ou baisser. Les marchés financiers sont le baromètre des risques de guerre. Pour le moment , ils tiennent grâce aux “ 7 magnifiques “ sur 3000 valeurs côtées. Le krach de 1929 n’est pas à l’ordre du jour. Par contre, le courant maléfique qui parcourait le champ social durant le confinement a laissé une empreinte indélébile dans tous les aspects de la vie quotidienne. Le renoncement du Pape à lutter contre la tyrannie des mondialistes, symbolisé par une place Saint-Pierre déserte lors de la messe sainte, à Pâques 2020, constituent le signe avant-coureur du début de l’ère biblique de la « Tribulation ». L’ambiance du monde post-Covid est plombée par des vibrations malsaines qui n’étaient pas perceptibles avant le confinement et les couvre-feux. Nous sommes entrés dans le règne l’étrange, le monde d’après évoqué par Macron. Malgré la formidable capacité d’illusion des peuples qui croient être retournés à la normalité, plus rien n’est comme avant le 17 mars 2020. La guerre n’est encore qu’une option parmi d’autres sur la table des globalistes mais la bête de l’évènement est là !