Habiller le corps : Alain Soral et l’école Pierre Fournier (2/2)
13 novembre 2023 12:54, par R
Très instructif, merci.
L’imposture de la "mode" pratiquée par ces pseudo-créateurs me fait un peu penser aux jeunes architectes qui croient impressionner le badaud avec des lignes spectaculaires et des matériaux à effets, mais dont les bâtiments, à l’intérieur, manquent cruellement de fonctionnalité : humidité, bruit, obscurité, exiguïté...