La démocratie, c’est le mensonge
23 septembre 2023 06:37, par Lames d’acierL’immigration, c’est la guerre contre le peuple ! C’est une armée qui envahit le territoire sans recourir à l’usage des armes. Il n’y a pas de combats armés , mais le résultat est que le pays envahi capitule avant même de repousser l’agresseur.La France a résisté en combattant l’occupant allemand. Aujourd’hui, tous ces résistants ou leur fils qui se sont battus pour une France libre renoncent à combattre les Africains qui l’envahissent, donnant raison de manière posthume à Hitler qui galvanisait les énergies de son peuple en exaltant la vigueur du sang allemand. La solution à l’immigration : l’effondrement du système capitaliste qui se soldera par la fin des aides sociales.Les rachats de dettes des états continuent à un rythme moins soutenu mais suffisant pour maintenir à flot le système bancaire. Supprimez la création monétaire pour financer l’état et le château de cartes capitaliste s’écroule d’un seul bloc. De même , si vous renforcez l’injection de liquidités dans des plans de redressement , l’inflation ne peut plus être jugulée par la hausse des taux et la croissance , si ténue soit-elle, chute de plusieurs pour cent. Un peu , comme la société générale, qui perd 13 % en une séance. Vivre dans un pays où les immigrés sont absents , comme en Biélorussie, c’est un luxe qui ne s’obtiendra qu’en perdant tous nos biens privés accumulés parfois à la sueur du front de plusieurs générations. C’est le prix à payer pour être libres. Nos biens immobiliers sont déjà hypothéqués en garantie des 3000 milliards de dettes de l’état. Or , l’état , c’est nous ! En plus, mais cela est à vérifier, “la dette des administrations comprenant les retraites des fonctionnaires serait de 5900 milliards”, selon un intervenant sur BFM. La crise économique à venir pourrait dégénérer en guerre civile. Les clandestins seraient alors activés contre les autochtones pour les trucider et les remplacer dans la tentative de sauver le grand capital en perdition. Les envahisseurs s’agglutinent à Menton , après avoir sillonné les routes italiennes en totale liberté , sans document d’identité, sous l’œil distrait des carabiniers occupés à contrôler et sanctionner les automobilistes. Autre scène à Montgenèvre, où un agent de la police des frontières fait le service minimum en scrutant les massifs à la jumelle pendant qu’un autre change la roue d’un véhicule. Le quota se limite à renvoyer 10 clandestins par jour ! Le déclin est acté !