Il y a sans doute des hommes qui forts de leur supériorité physique en terme de force, n’hésitent pas à "avoiner" leur nana. Il s’agit-là de violence conjugale, dont à l’instar des violences sexuelles, on a déjà tout dit. Inutile de pérorer davantage.
Et si pour changer, on parlait de la violence journalistique, si chère notamment à quelques pétasses télévisuelles (qui se reconnaîtront) et qui se fient à leur notoriété, ainsi qu’à la scandaleuse surprotection que leur accorde la "justice-égale-pour-tous" pour se croire à l’abri, d’une belle branlée qui tôt ou tard leur pend au nez. Entrer au Club des Femmes Battues, sans même payer l’inscription, hein ? On croit rêver. C’est un peu comme à l’époque Me Too. Malheur à celles qui n’avaient pas de viol subi à dénoncer...
Chères féministes bon teint, je vous le prédis. Votre arrogance provocatrice, vos hystéries vous perdront. C’est juste une question de temps. Le temps que mettront vos chialeries exagérément victimaires, à lasser le populo...