Tuerie à Philadelphie : cinq morts tués par un travesti militant de Black Lives Matter
7 juillet 2023 11:56, par HORACE liste non complète des auteur LGBT
fusillade de 2018 dans un entrepôt du Maryland, 4 morts, dont le tireur ;
fusillade de 2019 dans une école région de Denver 2 tireurs, dont l’un est un homme trans, qui a fait 1 mort 8 blessés ;
meurtre de 5 personnes en nov. 2022 dans une boîte gay à Colorado Springs
fusillade à Nashville en mars 2023
Précisons que cette liste ne comprend pas les suicides, les morts accidentelles ni les morts prématurées
Dans le monde occidental, probablement personne ne s’en est pris à un trans juste parce qu’elle était trans. Par contre, il y a des trans qui s’en prennent aux innocents et les trans sont surreprésentés parmi les tueurs de masse.
Être atteint d’un trouble d’identité de genre signifie qu’une personne n’arrive pas à accepter la réalité, le genre qui lui a été attribué à la naissance. Au même titre, une minorité pourrait théoriquement refuser d’être considérée comme humaine (et s’identifier comme un animal ou un objet), refuser d’être un adulte/un enfant/une personne âgée, ou d’autres formes de lubie humaine.
Teindre ses cheveux, pratiquer la chirurgie esthétique, ou même rallonger la taille par la chirurgie, ces changements ont encore une visée d’amélioration constructive. Mais avec l’hystérie transgenre, nous avons passé de l’amélioration de l’apparence au stade de la déconstruction de l’humain à l’extrême, et le pire est probablement encore à venir avec l’avènement du transhumanisme.
La nouvelle minorité trans a été créée de toutes pièces à partir d’une pathologie extrêmement rare, qui elle-même s’est construite autour d’un problème génétique encore plus rare, les bébés nés hermaphrodites.
Ensuite, le transgenrisme a été imposé par les médias, les réseaux sociaux, avec des méthodes de manipulation de masses sophistiquées.
Les victimes qui se laissent convaincre qu’elles sont nées dans un mauvais corps sont des personnes plus fragiles que le reste de la population, plus facilement manipulables, comme des enfants, des ados, dont le cerveau n’est pas encore mature, ou bien des homosexuels, des travestis, qui rêvent de se réaliser par une "transition" de genre.
Avec le processus de transformation, la vie devient misérable, une lutte perpétuelle et médicalisée, centrée sur l’apparence et sur les effets secondaires de la chimère qu’ils poursuivent. Il n’est donc pas étonnant que certains d’entre eux cherchent à faire payer à d’autres le fait d’avoir été entraînés dans une tromperie sans issue.
observateur.ch