Babylon, de l’usine à rêves au cauchemar hollywoodien
10 février 2023 19:13, par ia
Non surtout que ces producteurs Kazars refusaient que leurs propres filles choisissent le métier d’actrice vues comme des shiksas (tepus) en Yiddish.
Cet article n’explique pas comment une certaine communauté s’est imposée dans ce secteur sans pitié à forte concurrence, d’où venait tout cet argent nerf de la guerre ? Quelles ont été les méthodes employées ?
La légende on a rien sans les poches mais on s’impose à force de suer c’est le cas de le dire mais c’est du cinéma.
Bref la véritable histoire d’Hollywood reste à écrire.