Yosha Iglesias, joueur d’échecs "transitionné", peut-il jouer avec les femmes ?
29 octobre 2022 05:51, par PLBIl est facile de mettre le taux de suicide des jeunes transsexuels sur le dos de la « non-acceptation par la société ». Ces personnalités éminemment dépressives et autodestructrices essayent en fait par la transsexualité de s’inventer un autre soi parce de quelque sexe fantasmé ou réel qu’elles s’attribuent ; par manque de caractère, donc de courage, elles ne sont pas capables d’accepter le regard des autres et les contraintes que leur genre (il n’en est d’autre que biologique), sociologiquement leurs impose : Le transsexualisme est une lâcheté.
« L’enfer c’est les autres » prétendait Sartre, un aveu d’ego-centrisme bourgeois qui refuse au nom de l’individualité jusqu’à l’assignement sexuel anthropologique et qui donne une importance démesurée à l’image fantasmée de soi au détriment du devoir naturel, de la responsabilité, de l’achevé, du réel. En bref, du narcissisme de vieille bourgeoise improductive et irresponsable. On ne s’étonnera donc pas que ce piteux philosophe s’enticha de la Simone de Beauvoir…..
On ferait bien de s’intéresser au taux de suicide chez les jeunes hommes et chez les hommes divorcés qui eux subissent de plein fouet l’opprobre d’une société féminisée et psychologisante dès qu’ils se rebiffent contre l’exploitation systémique et féminine (Pléonasme ?). Ceux là sont des producteurs, et il est important de les préserver.
Quant à ce joueur d’échec, de seconde zone, jusqu’à preuve du contraire, il ne produit pas grand-chose, « du buzz », peut-être, au final : le bruit d’une mouche….