Je salue ses initiatives visant à mettre en lumière cette catégorie d’effets secondaires...
Par contre, je ne veux pas trop faire le grincheux, mais au niveau de la forme, je trouve que son discours serait quand même un peu plus agréable à écouter si elle évitait un peu de prononcer le mot femme* 3 fois par phrase et entrer dans le débat -pour le coup littéralement stérile- de "féministe victimaire hystérique" consistant à dire que « Nous les Femmes, contrairement aux hommes, on ne nous prend pas au sérieux gnagnagna et ça dure depuis des siècles gnagnagna (...) ».
*OK OK, on me rétorquera que dans le cas présent, il est question de cycle menstruel et ça ne concerne donc que les femmes en exclusivité :
oui, mais quand même, là, par moments, j’avais presque** l’impression d’entendre un discours de Dilma Rousseff traduit en français...
((**Du moins sur la forme ; sur le fond, c’était quand même -heureusement- plus intéressant qu’un discours de Rousseff, sinon, je n’aurais pas tenu...))