Satire dans les coins !
Pour chambrer les imposteurs ou incapables têtus et autoritaires, souvent de même, par le registre du pamphlet, j’adore ici les vannes ouvertes à plein tubes, pour laisser passer le gaz hilarant qui réchauffe les cœurs.
Cependant et bien que cela serve de soupape, je me demande toujours comment font ceux pour supporter les ordres incensés et retords de quelques fillotes, sans moufter : que cela soit par trois doigts soutenant la plume, tous au clavier, voire pour les moins patients ou plus agissants, par ceux de la main ouverte ou fermée jusqu’à faire le coup de poing après le coup de gueule.