Inflation, énergie, sanctions : Bruno Le Maire, un champion
27 août 2022 19:26, par DominoMacron promet la " fin de l’abondance "
En cela, il ne fait qu’annoncer la phase finale des projets malthusiens qui, depuis plus d’un siècle, veulent diminuer et sélectionner la population. Les idées de la société eugéniste britannique, créée en 1907, ont influencé les sociétés de pensée entre les deux guerres, et la deuxième guerre mondiale n’a pas fait cesser ces idées "nauséabondes", puisque l’éminente société a perduré sous le nom d’ "Institut Galton".
C’est à partir des travaux du Club de Rome et surtout le rapport Meadows (1972) théorisant la nécessité des limites à la croissance, que les mouvements écologistes ont été créés, avec l’objectif sous-jacent, mais jamais mis en avant, de diminuer la population mondiale.
Pour ce faire, des institutions supranationales devaient être créées, dont les décisions s’imposeraient aux Etats, et qui constitueraient une étape importante dans l’établissement d’un gouvernement mondial.
« A la recherche d’un nouvel ennemi qui nous ferait nous unir contre lui, nous en sommes venus à penser que la pollution, la menace du réchauffement de la Terre, la pénurie d’eau, la famine et le reste étaient les bons candidats. Ces phénomènes constituent effectivement la menace commune qui appelle la solidarité de tous les peuples. » (Club de Rome, rapport "Question de survie", 1991)
Dès 1975 une conférence intitulée « L’atmosphère menacée et menaçante » fut organisée par l’anthropologue Margaret Mead. Cette dernière expliqua que « c’est la croissance sans précédent de la population mondiale qui a certainement l’influence la plus déstabilisante pour la biosphère ». La conclusion était évidemment la nécessité de réduire la population humaine et son activité industrielle.
Ce dont ont été convaincues les élites occidentales gravitant autour du Club de Rome.
Pour que l’opinion publique accepte cette réduction, Margaret Mead proposa :
« Ce que nous demandons aux scientifiques, ce sont des estimations présentées avec suffisamment de conservatisme et de plausibilité. (...) C’est ce qui nous permettra de commencer à construire un système d’alerte artificielle, mais d’alerte efficace... Il faut rendre clair que les peuples de toutes les nations sont physiquement interdépendants. Ce n’est que comme cela que nous parviendrons à obtenir les sacrifices dont les hommes sont capables. »
Autrement dit, la vérité scientifique n’a pas d’importance. seul compte ce que croient les populations. Nous assistons à l’accélération de ce plan.