Que faire quand l’État va à l’encontre de nos valeurs ? L’exemple de Henry David Thoreau
27 juillet 2022 02:02, par GregIl a un air à Chabal le Doc...il doit être né dans la même réserve pour animaux en voie de disparition.
Son exposé développe plutôt très bien le point de vue Soralien, il touche sa bille.
Dans sa spécialité, en tant que médecin généraliste qui cherche à étendre son domaine de connaissance, je lui mettrais 18/20, pour sa concision et aussi pour sa très bonne comparaison entre les époques.
Il a fait la démonstration des limites du concept à une époque où le sens du bien et du mal, donc celui de l’honneur et du déshonneur, fait de moins en moins bon sens commun.
Ça me fait rebondir sur une rencontre que j’ai fait hier, un ex emprisonné venant de sortir de prison le jour même est venu me demander 10e pour pouvoir dormir à l’hôtel. J’ai accepté mais ne pouvant hélas pas retirer d’argent ce jour là je n’ai pas pu l’aider pour sa réinsertion dans le monde des bestiaux en liberté. Il avait fait de la prison pour avoir essayé de faire beaucoup d’argent sur le besoin des bestiaux d’échapper à la dépression propre à leur condition sans passer par les labos de bif Pharma, quelque part il a fait de la prison pour avoir aidé à désengorger les files d’attente à covidés dans les pharmacies de l’Etat.
Malgrés la durée assez longue de sa peine, il ne m’a pas semblé pour autant avoir remis en question sa doctrine, et même si il s’est humilié à me demander l’aumône, je n’ai pas vu en lui ce déshonneur qu’on peut voir sur tant de visages désincarnés par les ravages de la socialisation du marché aux bestiaux.
Tout ce qu’il me disait faisait sens, et surtout le fait que de nombreux prisonniers sont aujourd’hui des gens malades mentaux ou affectifs, pour lesquels la prison n’aide pas à une remise en question salutaire pour réussir à trouver plus d’utilité dans la société que celle qu’ils réussissaient à avoir tant bien que mal avant la prison. Leur désobéissance civile forcée à eux les condamnant finalement à se retrouver enfermés avec d’autres condamnés pour avoir été des mauvais consommateurs car paricipant à des entreprises pharmaceutiques ne payant pas assez l’impôt, tout en vivant plus librement que les reste des bestiaux qui se plaîsent souvent à les montrer du doigt : ici sont des hommes qui ont souvent refusé le déshonneur. J’ai tapé portes du pénitencier je suis tombé la dessus https://youtu.be/pGYSBxFS0CI ce qui me fait dire malgrés le déshonneur devenu quasi totalitaire que seule la loyauté à l’amour fraternel sauve ce qu’il reste de l’ humanité en pénitence.