Concernant le portrait d’Astruc par Degas, le fils du rabbin n’a jamais pardonné...
...au génie universel d’avoir consacré un peu de son précieux temps au parfait inconnu qu’est resté son père. Il y a quand même ici une faute de goût assez stratosphérique. La pleurniche du fils confirme que Degas en avait déjà trop fait pour le père.