L’affaire Léo Grasset ou la nouvelle définition du viol
26 juin 2022 09:58, par anonyme
Tous ces anglicismes (girls hate, love bombing, slut shaming, ...) employés dans le reportage de Mediapart sont insupportables et sont le marqueur très net du niveau d’acculturation de cette génération qui a grandi sous l’influence hégémonique de l’empire avec tout ce que cela suppose : narcissisme outrancier, ego hypertrophié, références pornographiques totalement intégrés, modèle économique de l’entreprenariat de soi, mise en compétition généralisée des individualités dans un écosystème vicié par la recherche constante de profits,...
Tout ce petit monde a joué le même jeu et maintenant que les masques tombent et que l’envers du décor apparait dans ce qu’il a de plus cru, chacun tente de s’offrir une dignité à moindre coût pour sauver ce qui peut encore l’être. C’est parfaitement hypocrite car au centre de cette affaire se trouve d’abord l’hubris individualiste et le dérèglement des moeurs collectif.