"La rage est la condition du courage" : entretien avec Lounès Darbois
30 mai 2022 17:37, par La nuque roideLa rage, c’est de l’hystérie burnée, ou virile, pas de quoi en faire une condition pour mener au courage, dé lors aveugle, ayant perdu toute attache rationnelle, non merci.
Le courage, le vrai, requiert de rester placide, tranquille, les yeux ouverts, conscient sans limite, et d’ailleurs, quand on veut noyer son chien, ne dit-on pas qu’il a la rage ; oui, d’accord, ce n’est pas la même, quoique.
Dire qu’elle se soigne au vaccin, parait-il, énième manipulation des élites adorateurs du veau d’or lobbyistes déguisés en thérapeutes.
Surtout, ne confondons pas la rage avec la colère, avec la saine colère, qui elle, est la condition du courage, mène au courage, tant que faire ce peu.
La rage est aveugle, comme sa compagne l’hystérie, ce couple perd tout sens avec la réalité, ce couple s’emporte à tord et à travers. Il est où le courage en mode fou-furieux.
Ce titre : La rage est la condition du... me fait mal aux tripes, à mettre dans un garage, pour une voie de garage.
Quand j’enrage, j’engrange du vent, du coup, je pète plus haut que mon cul. Ici bas, c’est la norme.
Le seul point commun entre la rage et le courage est formel, dialectique, prosaïque, ça rime ensemble. Bingo ! Un à mettre en cage, l’autre à en sortir, car du courage, il en manque aux français pervertis et corrompus par 2 gros siècles de république satanique, tiens, voilà un mot qui rime avec nique. Nique-nique-rage.
Eu égard au courage, pour nous sortir de la mouise trompeuse et arnaqueuse des sionistes, je ne vois qu’un sombre orage à l’horizon afin d’éradiquer cette torpeur crétinisante à voir des conditions là où il n’y a que des rimes, à outrance, et en outre saugrenues.
Me serai-je laissé emporter par une rage inopinée après lecture du titre de cet article ? Va-t-il me falloir du courage pour en accepter l’écume baveuse ?
« Ô rage ! ô désespoir ! ô vieillesse ennemie !
N’ai-je donc tant vécu que pour cette infamie
Et ne suis-je blanchi dans les travaux guerriers
Que pour voir en un jour flétrir tant de lauriers ? »
Les lauriers de la France Monarchique, les usuriers et autres maîtres des dette n’en aurons fait qu’une bouchée.
Va falloir se réveiller quand bien même la rage aux dents.
De notre histoire de France, nous reste que ce pendant.