Stéphane Édouard analyse Bootyfull, le documentaire de Rokhaya Diallo sur "l’histoire médiatique des fesses"
26 janvier 2022 21:31, par Apis1903
Elles sont quand même assez vilaines, voir sales et donc repoussantes. "Mais où sont passées les vraies dames" (pour contrer un peu ce genre de nanas qui se demandent tout le temps où sont passés les vrais hommes...).
Effectivement, la libération de la femme sauce postfeministe ne produit que de la vulgarité, de lamlaideur et de la vetise profonde. Rejouisssons nous donc car tôt ou tard elles en souffrent, et c’est mérité.
Et comme dirait le papé de Manon des Sources : "une femme se choisit par derrière..." Ici pas la peine, ce sont déjà de vieille casseroles...