Journée du Viol ? PPDA, Nicolas Hulot, Juan Branco et Ari Abittan sur la sellette
25 novembre 2021 18:03, par Roland de Roncevaux"Si certaines femmes se sont fait piéger, par faiblesse, par ignorance ou par calcul, d’autres savaient et évitaient tout rapport non professionnel".
travaillant depuis de nombreuses années dans l’événementiel et artistique à l’international, je partage entièrement cette phrase... le défilé des michetoneuses (et michetoneurs) continue d’ailleurs en même temps que le me-too... c’est donc parfaitement hypocrite. Les femmes savent très bien ce qu’elles font quand elles suivent un producteur chez lui, et d’ailleurs elles font tout pour y parvenir et passer devant des personnes plus talentueuses mais qui ne couchent pas... Il est là le scandale.
Je connais de nombreuses femmes (et hommes) de vrai talent qui mènent une carrière modeste car ils sont intègres. Mais les gens de talent finissent toujours par suivre leur cours. Tandis que les bulles spéculatives crèvent quand une plus jeune beauté les remplace. La plupart des ex-michetoneuses ont cependant généralement la classe de ne pas remettre sur le tapis leurs vieilles coucheries...
Je n’ai cependant aucune sympathie pour les accusés... souvent c’était de vrais mafieux implacables, des profiteurs, des pervers, des affairistes, avec ces méthodes de réseaux et de gangs. Donc, leur chute est une forme de punition du destin (la roue tourne pour tout le monde, messieurs !). Mais les "victimes" sont aussi de belles hypocrites. Bref, tout est pourri. Et d’ailleurs, de nouveaux pouvoirs et de nouvelles coucheuses (et coucheurs) sont déjà en place... on en parlera dans 30 ans... ceux qui affichent le plus de vertu dans les médias sont certainement les plus pervers... et on verra à quelles turpitudes sexuelles se livrent ce soi-disant féministes à la mode dont j’ai eu l’occasion de croiser certaines habillées comme des prostituées quand elles vont voir un homme important...
Au passage, soulignons que les hommes sont aussi victimes de ce système. Par trois façons. Avances homosexuelles pour ceux qui sont beaux gosses. Mais surtout sollicitation par des femmes (mûres ou même jeunes) en place aux postes de décision. Le gigolo a de beaux jours devant lui ! Et si vous ne couchez pas, votre téléphone sombre aux oubliettes et on ne vous offre plus jamais aucun contrat. Et enfin, les hommes qui sont écartés parce-qu’on leur préférait une "potiche" hier, et un "quota" de femme aujourd’hui.