Vaccination : des nanoparticules dans le cerveau ?
18 juin 2021 23:07, par julotJe remercie E&R de diffuser ce genre de témoignage CAPITAL, étant moi même directement touché par les conséquences de ces injections néfastes que l’on inoculent depuis des décennies (avec un renforcement permis par Agnès Buzyn) à nos enfants sous couvert de politique sanitaire frauduleuse !
Cela concerne ma fille qui vit un calvaire depuis ses 9 ans (elle en a 15 aujourd’hui) depuis qu’on lui a diagnostiqué (non sans mal) la maladie de Crohn.
J’ai tout de suite fait le rapprochement lorsque j’ai pris conscience (trop tard) lorsqu’elle était petite des retards de développement moteur (marche tardive), trouble digestif, trouble à l’apprentissage notamment de la lecture (dyslexie) dû notamment à un syndrome de dysfonctionnement posturale (asymétrie du squelette lors de la croissance) que l’on a eu le plus grand mal à corriger (avec des médecins et spécialistes compétents et coûteux non remboursés) et d’innombrables heures de rééducation en tout genre lui ayant permis au final de suivre une scolarité à peu près normale.
Au final elle a finit par développer ce que l’on nomme une maladie auto-immune (touchant l’appareil digestif dans son cas) dont les signes avant coureur sont précisément ceux que je viens de cité plus avant.
Elle subit depuis le délire Covid (confinement à l’hôpital) un traitement sous immunosuppresseur lourd (par intraveineuse une fois par mois) faute de mieux, ayant une maladie très active ayant entraîné des inflammations à répétitions qui ont bien faillit lui coûter une partie de son colon envahit par des abcès drainés en urgence.
Je ne vous parle même pas de la perte de poids, des états suicidaires, et des heures passés sous perfusion avec coupure d’alimentation totale et sonde alimentaire, bref en somme la torture allopathique habituelle accompagnée de la surdité des gastro-entérologues incapable de changer de stratégie, fermés qu’ils sont de par leur formation biaisée. Malgré les évidences statistiques de causes à effets entre vaccination (par paquet de douze) que l’on administre à des bébés au système immunitaire encore immature dès la maternité et les maladies auto-immunes, ils continuent à me conseiller systématiquement de la faire vacciner pour tout et n’importe quoi (ce que je refuse) étant considéré comme personne à risques bien évidemment puisque artificiellement immunodéprimé.
Les alternatives inaccessibles, la contraignent pour le moment à cette seule solution lui évitant de porter une stomie.