le nombre, encore et toujours le nombre
pour résumer, il y a trop de gens, je dirai même de braves gens, des gens si peu enclins de faire le mal, qu’ils ne le voient jamais, même si celui ci s’étale ostensiblement
il y a donc une volonté d’élimination d’une masse, pour qu’une poignée puisse continuer de gérer , dans le confort, son quotidien
il y a bien 10 000 ans de ressources encore disponible pour qu’une poignée de princes charles puisse rouler en aston martin urbi et orbi, le temps de rejoindre un avion
on en revient toujours à la responsabilité des courroies utiles sans lesquelles davos ( et tout le reste ) ne serait qu’une semaine de parlotes
il est vrai que ces courroies ont les mains bien pleines, face a de braves gens qui ont les leurs bien vides