Et j’ajoute que ce concret s’appuie sur l’engagement (productif de son être), n’en déplaise aux progressistes qui nous disent en gros : "laissez-vous bercer".
Donc le véritable romantique n’est pas un passéiste nihiliste qui sirote de l’absinthe au Chat noir (https://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Ch...) - image d’épinal idéologique - mais un idéaliste conscient de sa chute, de sa condition d’être déchu, voulant retrouver un certain idéal, humain, refaisant le monde au comptoir en cherchant une issue à ce marasme, bref : un Gilet jaune de 1819 digne de ce nom, en somme, sans le savoir et deux siècles avant ! (anachronisme pardonné ?)
Car oui c’était mieux avant et ça sera mieux après, une fois cette parenthèse judéo-maçonnique fermée pour de bon !
Car on ne parle pas fondamentalement d’essor matériel ou matérialiste mais bien d’esprit français et d’orientation spirituelle - de tournure d’esprit comme Pierre Hillard.
Moi je suis persuadé qu’on a perdu quelque chose en route. Suffit de lire pour s’en convaincre la haute teneur d’écrits d’avant 1914, dont (ô gloire aux éditions Kontre Kulture et à son directeur de publication Alain Soral) nous pouvons en approcher la qualité regrettée !
Remettons les choses à l’endroit et réinscrivons-nous dans l’Histoire - notre longue histoire de France en l’occurrence - contre ceux qui prônent la fin de l’Histoire, en fait la fin de l’Homme et du Sens vers paraît-il un "homme amélioré" - amélioré, mon cul, Dieu nous a donné les moyens de rester en contact et Il nous attend !