La russophobie, comme la nature, n’aime pas le vide
30 juin 2020 09:13, par p’tit gars
On peut apprécier modérément, c’est mon cas, Donald Trump, mais il faut bien reconnaître que l’obsession haineuse à son encontre atteint des sommets... Ces crétins de démocrates et leurs petits laquais serviles du progressisme n’ont toujours pas digéré son élection il y a quatre ans... pas digéré et toujours pas compris ! et je crois (j’espère !) que grande sera leur surprise et leur déception en novembre lorsqu’il sera probablement réélu, s’il ne lui arrive pas une tuile d’ici là !
Quand à la presse, on a connu un temps où elle se montrait plutôt bien polie et respectueuse à l’égard de la Russie, entre 1945 et 1991...