Tiens je l’avais oubliée, celle-là. La petite pisseuse à nattes, qui renifle le CO2 par ses jolis naseaux. Dommage qu’elle n’ait pas décelé la pandémie qui s’annonçait. Elle, on l’aurait cru. Pas comme Raoult et le cocktail chimique, mais trop bon marché, qu’il propose pour nous débarrasser les bronches du virus. Je ne sais pas si vous avez remarqué, mais jamais la fantasmagorique Greta, n’a eu le dixième de contradicteurs publics, qu’a le professeur marseillais...
Disparu également, le réchauffement climatique, la mer qui gagne nos côtes, les météorites menaçant de nous écrabouiller, etc...
Il faut vraiment regarder un documentaire d’ Arte, pour encore entendre parler du catastrophisme climatique et de ses funestes, quoique improbables conséquences.
Le confinement, quoi qu’on en pense présente un avantage ; celui de la réflexion. Et après moult heures à se torcher les méninges, on ne peut s’empêcher de constater, que si notre monde est plein de Cassandre, annonciateurs de solutions-miracle, pour de très hypothétiques catastrophes, il ne se trouve pas un(e) putain de gonze(sse), pour juguler le fléau réel, celui-là, qui nous préoccupe actuellement. Pas de chance, bordel !
Il faudra juste s’en souvenir, une fois la pandémie vaincue, des fois que ces emmerdeurs patentés nous ressortent leurs désastreuses et incertaines "prévisions".