Le Média : "Macron a-t-il choisi de laisser mourir les Français ?"
24 mars 2020 00:42, par FREDERIQUE@ Sedetiam
".../...Ce que j’ai lu donc : « 93% des Français s’accordent pour dire que ces mesures (cf. de confinement) sont nécessaires... » .../..."
Quand en 2020 et en pleine pandémie - après avoir maintenu des élections et autorisé les Parigots à se mettre au vert en Province - tout en ne disposant - pour cause d’incurie criminelle - que de moyens à peine "dignes" du Moyen-Age
pas de masques
pas de gel
pas de kit de dépistage
pas de stock de chloroquine
pas de lits suffisants en réa
il ne reste plus que la "solution" du Moyen-Age pour tenter de ralentir la contamination, autrement dit la mise en quarantaine, et ce, même en 2020, comme l’ont d’ailleurs prouvé les Chinois, pourtant autrement équipés que la France de Macron !
Des assesseurs de bureau de vote, contaminés aujourd’hui, commencent à poser des questions...
".../...Sur 93%, ils auraient dû être 10 millions dans les rues.../..."
Après avoir vu les éborgnés et les mutilés par ce Système inique et révoltant, tout le monde n’a pas forcément vocation au suicide...
".../...je crains bien que le seul boulet qui soit entretenu dans la populace, reste celui qu’on lui passe au pied et qu’elle accepte sans coup férir.../..."
Le souvenir des millions de GJ, descendus dans la rue pendant plus d’un an, et de gilets jaunes exposés dans des milliers de véhicules de toute sorte prouve bien qu’il y en a qui ne l’acceptent pas, et qui exigeront de ces incapables - hautement délétères - qu’ils rendent des comptes aux Français, de gré ou de force...
Et là-dessus je suis prête à parier tout ce que vous voulez, tellement je suis certaine de gagner mon pari !
Quant à M.A.S.H, quel film revigorant à l’humour carabin version XXL - la scène qui passe dans les haut-parleurs, inoubliable ! - mais ils se battaient contre un ennemi visible, et c’est bien ce qui fait toute la différence avec aujourd’hui, hélas...
Mais comme il parait que "La poésie sauvera le monde", ces quelques lignes de Baudelaire, cadeau !
"Voici venir les temps où vibrant sur sa tige
Chaque fleur s’évapore ainsi qu’un encensoir ;
Les sons et les parfums tournent dans l’air du soir ;
Valse mélancolique et langoureux vertige !.../..."