Pandémie : le prix d’un monde sans limites
20 mars 2020 11:58, par Mille sabords !je ne partage pas les vues de son auteur, therapeute en santé alternative, mais il ets interessantd e voir son point de vue : "le virus est une aide a l’evolution humaine, le bloquer pour l’empecher de passer est une erreur"
CRISE du CORONAVIRUS : danger de mort ou opportunité de vie nouvelle ?
En chinois, l’idéogramme du mot « crise » est composé de 2 caractères signifiant « danger » et « l’opportunité ».
La vie est sensible et tous les organismes vivants sensibles y compris les virus, échangent en permanence des informations sensibles et vitales entre eux ! Empêcher les échanges d’informations vitales sensibles revient donc à mettre le vivant en danger de mort !
Et comme le disait à juste titre Claude Bernard : « Le microbe n’est rien, le terrain est tout ».
Alors regardons d’un peu plus près le terrain propice au développement de la contagiosité et de la mortalité de ce nouveau Coronavirus COVID19. Mais surtout ouvrons l’œil sur ce qu’il cherche à nous montrer, son but, son sens et sa sagesse.
L’objectif de ce décryptage n’est évidemment pas de critiquer mais de susciter une réflexion différente, de prévenir l’effet nocebo de la panique et l’angoisse instiguée par certains de la gravité ou dissimulée par d’autres, de réduire la contagion et la morbidité du virus et de faciliter la guérison.
L’environnement : Le terrain politico-économico-social
L’histoire nous montre que les empires se suivent et se ressemblent par leur autoritarisme, leur opacité, leur volonté de contrôle et leurs répressions violentes.
Les anciens empires, du « Milieu » devenu communiste, Perse devenu musulman et Romain devenu chrétien, n’y ont hélas pas fait exception.
La Chine, qui aspire au titre de première puissance économique et militaire mondiale, connaît un contexte politique et économique très sensible. La guerre commerciale et les accords avec les USA peuvent être intenables, les révoltes à Hong Kong, la victoire de Tsai Ing-wen à Taiwan et l’arrêt de son économie avec l’épidémie depuis janvier en donnent le ton.
Le parti communiste chinois, pour conserver sa « légitimité », 17 ans après le SRAS (Syndrome Respiratoire Aigu Sévère), a déployé des moyens financiers et matériels colossaux sans réellement évaluer la pertinence des actions entreprises ni se soucier du coût et du bien-être humain. Ne prenons que pour exemple la construction en 10 jours de deux hôpitaux préfabriqués de 1000 lits.
http://www.evidences.be/francais/ar...