Quand Juan Branco écrivait à Salah Abdeslam
23 février 2020 01:12, par La Boétie
Ce Jean Branquignolle a une tête de Titeuf avec un je-ne-sais-quoi dans le regard qui ne me revient pas depuis le début. Plus un discours fumeux et pas franc du collier. D’instinct je le sents pas et comme il est insignifiant, je m’en tamponne du bastringue de cette baltringue.
Le système politico-merdiatique doit avoir du mal à recruter, le niveau des candidats est tombé tellement bas qu’il ne reste plus que des brêles et des bras-cassés. Le dégagisme a sorti beaucoup de monde de l’arène, pendant que les vieux éléphants se meurent dans leurs cimetières.
Emmanuel Todd a raison de souligner, au cours de ces dernières interviews relayées par E&R, que le niveau des élites s’effondre. En effet, quand on parvient et réussit par le réseau, et non par le talent, cela ne favorise pas l’intelligence pratique et conceptuelle.
Todd souligne aussi que les classes dominées se réarment intellectuellement.