« Vivre libre ou mourir », proposition radicale qui suppose une haute idée de son devoir, elle-même issue d’un certain niveau de conscience : si le devoir se résume à une augmentation de salaire, alors c’est une vision à court terme, individualiste et réformiste, ce qui laisse le champ libre à l’ennemi.
Mais si le devoir c’est d’avoir compris que se sauver soi et sa famille ne sera possible qu’en libérant le pays des ogres mondialistes... alors on monte d’un cran, de l’intérêt individuel à l’intérêt national, et on se met à niveau de l’enjeu du siècle :
France ou pas France ? Se soumettre ou se battre ? Servir et non se servir.
C’est un (re)positionnement moral que chacun doit approfondir, malgré l’oubli du sentiment national et l’idée de défense de sa patrie, malgré l’oppressante société de consommation et du salariat, chronophage et abrutissante qui nous détourne sans cesse de nos intérêts communs et de notre bien commun, sans parler du mensonge médiatique permanent y contribuant.
Ça fait moraliste désolé, mais personne ne viendra, alors autant être clair.