Alors, donc…
On serait en voie d’admettre ou constater, sur le tard, que la pédophilie n’étant pas quelque chose de « bien » ou d’inoffensif ; en faire l’éloge ou la promotion ou encore s’en amuser ou s’en glorifier soi-même en littérature ne s’y avérerait pas plus acceptable ou convenable, là, qu’ailleurs.
Liberté, liberté, liberté.
N’est-il pas frappant de constater la similitude, éminente, apparaissant aujourd’hui entre ‘ce’ « cas » et celui où est allégué ou professé qu’il serait loisible de se moquer d’handicapés même, en raison d’un caractère considéré sacré du genre humour ?
Chose certaine, on aura beau, d’un côté, défendre une souhaitabilité de liberté la plus large possible, en littérature, en arts, en humour, ainsi qu’approuver à deux mains l’immunité parlementaire totale permettant de proférer, là, impunément quelque insanité que ce soit ; il y a une différence, et toute une, entre (vouloir) préserver tel droit ou liberté et l’agir ; différence entre pouvoir dire ou faire et dire ou faire ; différence, bref, entre permissivité, théorique, et bienséance , pratique, de dire ou d’agir, de faire ou de s’en garder.