Le retour du scandale (Gabriel) Matzneff : pédophilie ou éphébophilie ?
27 décembre 2019 22:43, par augustinLe jour où une femme dira publiquement, j’ai été séduite à 14 ans par un homme de trois ou quatre fois mon âge, et j’ai trouvé ça super... la terre s’arrêtera de tourner. Résumons : toutes celles qui donnent des leçons de morale à nous, les filles "séduites", ou à eux les hommes "séducteurs", sont des jalouses. A toutes époques dans les sociétés les plus différentes, il y a eu de telles relations, et personne n’en faisait un fromage. Toujours dans la relation sexuelle les femmes se poseront le problème ainsi : Ai-je été consentante ou pas ? Et au fond, si elles sont honnêtes elles savent bien qu’elles ne savent pas ! Quand l’homme est super gentil, fait des cadeaux, elles oublient qu’elles se sont posé la question et qu’elles ne l’ont pas résolue et que c’est... le passé ! Aujourd’hui, abimées par une éducation délirante où on leur parle sans cesse de leurs droits bafoués, qu’une pornographie à tous les étages est vue comme une chose futile et admise par tous, que s’habiller "comme une pute", pour reprendre une expression qu’on entend partout dès qu’on questionne les hommes à l’abri des oreilles indiscrètes, est non seulement un droit mais un devoir qui concrétise leur "liberté", les hypocrisies, les mensonges, les faux fuyants, les vengeances qui ne veulent pas dire leur nom seront légion. Si la belle Vanessa n’avait pas rencontré l’immonde Russe, qu’aurait-elle à vendre sinon à plagier la Beauvoir pour qui "tout coït est un viol" ? Adèle Haenel nous a fait le même cinéma il y a peu pour des attouchements. Pour elle la chose a duré 3 ans avec l’accord des parents et, désormais, grâce à Ruggia qui est mort socialement grâce à elle, elle, elle est célèbre et riche. Faut-il le taire ? Combien de femmes, sans le crier sur les toits, ne seraient-elles pas prêtes à certains sacrifices pour avoir sa célébrité et son fric ? D’autres Adèle et d’autres Vanessa viendront jusqu’à ce que la mécanique victimaire ne fonctionne plus et que les hommes se réveillent enfin. Car comme le dit Brassens dans une chanson "c’est toujours elles qui déclenchent la bagatelle", qu’elles aient 14 ans ou 50 ans. Pour Bombardier à l’époque c’était déjà trop tard. Si Matzneff a 83 ans aujourd’hui, je préfère pas savoir à quoi elle ressemble elle ! Eh oui, c’est injuste, la vie est injuste, les hommes ont la vie belle tandis que les femmes vivent en enfer alors qu’elles sont la Justice incarnée. Quelle blague !