Comment notre alimentation influence notre santé mentale
28 septembre 2019 08:55, par j
La prise ou le rejet des deux jetons/euros de l’expérience dépend du contexte.
Premier cas : les deux ayant-droit aux jetons ont tous deux une famille et tous deux n’ont aucun compte en banque, autrement dit pas un sou vaillant. Le preneur a un avocat et un réseau, le lésé n’a rien que ses bras.
Il vaut mieux en l’occurrence, quand on est intelligent, prendre les deux euros. Les enfants réclament et ça n’attend pas.
Deuxième cas : les deux ayant-droit n’ont pas un besoin alimentaire de ces euros. La même autorité supérieure qui les somme de partager accorde de toute façon à celui des deux qui n’a rien, de droit, une somme minimale pour alimenter sa famille.
L’attitude intelligente est alors de quitter la table, après avoir réclamé un partage équitable, si l’autorité supérieure n’intervient pas. Contre l’abuseur, à forces égales, un affrontement. Si celui des deux qui est pauvre est aussi vieux ou maigrichon, une protestation, suivie d’un recours à l’autorité supérieure, puis (si celle-ci ignore le recours), gilet jaune ou retrait est la meilleure solution, en attendant mieux.