Et le 14 août 1944 Clarence Withfield fut pendu…
16 août 2019 01:39, par jeandelalunede juin 44 jusqu’en janvier 45 la dégueulasserie a été de partout , de leurs faits et de celui des résistants du "mois de septembre", dégueulasserie résumée sous le terme "d’épuration"
Robert Aron, historien de la période de l’épuration, note : « C’est un véritable armorial, un annuaire des châteaux ou un bottin mondain de province que l’on pourrait constituer avec les victimes. D’autant que beaucoup d’entre elles ont eu le tort inexpiable, tout en étant anti-allemandes, de faire confiance à Pétain, ou bien d’être, dans la résistance, d’un camp différent de celui de leur assassin… ».
C’est aussi, cette jeune fille, catholique et cheftaine des guides de France, qu’on viendra chercher le jour de son mariage pour la fusiller devant ses proches au motif que sa famille -mais pas elle !- aurait été « collabo…
http://marcrousset.over-blog.com/20...
le camp du troncais dans l’allier, extrait :
Quand on lui a reproché « un régime dépassant les normes humaines », l’ancien chef du camp, Charles Rodenburger, un ancien inspecteur de police, a répondu qu’il n’avait fait qu’appliquer les normes en usage dans la police.
Un témoin extérieur, Bernard Turotoski, raconte. « Nous avons découvert un climat insupportable de terreur, car les détenus vivaient dans la crainte des flagellations mais aussi des tortures pratiquées par les policiers
https://www.lamontagne.fr/montlucon...
etc etc etc ..... on arrête ! ceux qui veulent d’autres témoignages en trouveront
abjecte le fait que ceux qui se sont rendus coupables de tout cela l’on fait " a pas cher " sans jamais risquer leurs peaux, contrairement au gi qui , sans l’excuser, pouvait 4 pralines dans le buffet plus tard , ne plus jamais rentrer "at home"
tous ces messieurs on pu bénéficier de la loi de 1953 amnistiant les personnes ayant appartenu à un mouvement de Résistance pendant la guerre, et hop , blanchis et honorés, comme un certain Georges Rougeron,
https://fr.wikipedia.org/wiki/Georg...
Aurélie Duchezeau écrit que l’existence du camp de Tronçais a entaché « de manière définitive la conduite de l’épuration menée par certaines personnalités locales et notamment Georges Rougeron, futur président du conseil général de l’Allier (et qui était secrétaire du Comité départemental de libération, NDLR) »