Il y a quand même quelque chose de très simple, de bon sens, à constater : toujours, partout, les peuples, c’est à dire la force de production, de réflexion et d’invention, n’ont aucun intérêt à "accueillir" puis se laisser submerger par des populaces d’incultes à religion ou mentalité agressive, qu’ils soient décidés ou non à bosser pour leur propre intérêt, et à filer doux au début de leur séjour, avant pondaison.
Frexit, nexit, brexit ont la même finalité : foutez-nous la paix ! Laissez-nous produire et vire entre nous, à notre manière, avec les recettes qui ont toujours marché !
Autre chose de très simple : ce n’est pas une majorité globale, composée de gens incultes et niais, d’étrangers hostiles, de paresseux matériels et spirituels, mêlés au peuple productif et inventif, de voter quand les carottes sont cuites et les sociétés explosées.
Les parasites voteront toujours pour le parasitisme, et chacun tentera de tirer la couverture à soi, autrement dit d’exploiter autant qu’il se peut le voisin ou le groupe opposé.
N’importe quelle élection est donc vouée à l’échec dans une société ainsi divisée. Les résultats des dernières sont à la fois logiques et inquiétants, faussés ou pas. Ils correspondent à l’aggravation de la tenue d’une société incendiée comme les poutres de NDP, qui paraît dévitalisée voire fumante du côté des forces productives, et très vivace du côté des parasites et incendiaires. La France est un jardin qu’étouffent les orties.
Que faut-il à ce jardin pour qu’y repoussent les roses et les pensées ? Du désherbant (qui peut être une plante concurrente, un oiseau anti-chenilles ou un arracheur de racines parasitaires dévoué), un jardinier, parfois un chat ou un furet pour les ratons. Certainement pas l’avis des orties, qui occupent actuellement quasiment tous les médias, entre autres postes stratégiques.