Le début est bon, comme d’habitude.
La fin est grandiloquente. C’est n’importe quoi. Elle se prend pour Kubrick ?
La bajon est drôle, mais drôle comme l’étaient les guignols. C’est à dire que tout ce qu’elle fait c’est simplement grossir le trait des défauts de ceux qu’elle critique.
Au final cela fait comme avec les guignols, on prend l’habitude des ces défauts en considérant que c’est "normal" et on rit.
On fini par rire de ce qui devrait normalement nous mettre en colère.
Elle nous habitue au pire. Exactement comme avec les série télévisées qui nous habituent aux cadavres et aux pires saloperies.