Marc Trévidic : "En France, on va avoir 400 fanatisés remis sur le marché"
16 novembre 2018 05:25, par Francois DesvignesC’est cela qui est ennuyeux quand on parle en morse, on comprend tout de travers :
le juge qui normalement juge mais vient donner le "la" sur un plateau, ne juge pas, ne pense pas, ne parle pas : il répète. A force de bien répéter, celui-ci est devenu président de chambre.
Donc, il "répète" que la guerre est imminente, en donne le premier nombre de victimes, 400, et les premières mesures : si c’est la guerre, il n’y aura plus de droit, comme en Syrie où étant en guerre, plus personne n’y fait du droit mais seulement la guerre.
Et nous que faisons-nous ?
Nous discutons de la logique du raisonnement, de la question de savoir qui est le plus coupable, le pauvre immigré noir dont le voyage a été financé par Soros par pure charité juive ; le musulman nourri, depuis le biberon, à la fainéantise et la haine du blanc "ssociateur", la banque qui pour fourguer ses prêts subventionne tout mécanisme de dette durable et profonde, donc d’abord et toujours l’immigration de masse insoluble et criminogène, ou la FM, des psychopathes qui croient qu’en foutant le bordel, ils deviendront dieux (Seuls les cons prennent leur folie pour du génie).
Est-ce bien raisonnable ?
Puisque le juge (en service commandé de perroquet) nous explique en morse que la GUERRE EST.
Or, en temps de guerre, le premier à mourir, c’est comme Jaurès assassiné, c’est le pacifiste : il est désarmé.