Ce qui frappe quand on prend le périph c’est l’anarchie des constructions, ici une tour en forme de suppositore, là en forme de parallélépipède : aucune harmonie car aucun plan d’ensemble, c’est l’anarchie capitaliste . Quand on pense aux réalisations d’Haussmann, ces avenues magnifiques où tout était prépensé pour former un ensemble triomphale, on est consterné . Alors il y avait des règlementations architecturales, on ne pouvait pas faire n’importe quoi .