Un jour (prochain, au rythme où vont les choses), il sera temps de donner le coup de grâce à ces institutions que sont la justice et la classe politique, ce qui ne pourra être fait qu’en leur substituant un système alternatif.
Ce système alternatif devra rendre impossible la corruption, ce qui pourra s’atteindre en recourant doublement au vote par Internet et à l’automatisation des tâches de logistique et de comptabilité.
L’État et la justice seraient ainsi :
automatisés pour tout ce qui peut l’être et a été décidé, par un vote du peuple, de l’être ;
mis au vote direct du peuple pour tout le reste.
Ainsi : plus de juges, et plus de politiques.
Ne resteraient nécessaires que les avocats, des docteurs en droit apportant leur avis, et des experts par domaine n’ayant aucun pouvoir décisionnaire.