L’Europe face à son destin : le piège du nationalisme israélo-compatible
26 septembre 2018 11:30, par Lucien Cerise
Une phrase de la pétition contre le national-sionisme résume tout : « Netanyahou ne nous sauvera pas de Soros. » En attendant, les réseaux Soros continuent à tuer du goy, par l’immigration, le LGBT et l’ultra-libéralisme. Pour arrêter le massacre, la solution consiste à se donner des objectifs tactiques précis dont la valeur ne peut être subvertie ou récupérée. Concernant les élections européennes de l’an prochain, la question doit être : voulez-vous plus d’Union Européenne, donc plus de morts, ou moins d’Union Européenne, donc moins de morts (de l’immigration, du LGBT, du libéralisme) ? Pour ne pas tomber dans le piège du national-sionisme, il suffit de ne pas réfléchir à ce qui est bon ou mauvais pour Israël, car on s’en fiche, mais de s’occuper uniquement de ce qui est bon ou mauvais pour soi. Écouter son instinct de conservation, qui exige d’arrêter l’immigration, le LGBT et l’ultra-libéralisme. Ensuite, s’il se trouve que mon intérêt national bien compris recoupe tout ou partie de l’intérêt du sionisme, c’est un hasard, et je n’ai pas à y penser.