Un film américain récent, qui est un foisonnant témoignage involontaire de la sociopathie juive :
Good Time, réalisé par Joshua et Ben Safdie, sorti en 2017.
Parmi les travers multiples bien caractéristiques, le rapport aux Noirs (les masques du braquage, les intrusions dans les logements, la gamine/ bonniche jetable, etc...), mais le film s’amorce déjà par un début en gros plans, pas particulièrement par choix esthétique, mais vraiment comme négation du monde extérieur.
Dans les bonus vidéo, un entretien dans la même veine qu’un Vincent Cespedes, genre « J’ai lu Freud à 8 ans. »