"J’aime quand c’est sale" : des filles dénoncent les avances sexuelles de youtubeurs
11 août 2018 08:27, par vbrd
""Il me disait qu’il aimait mes fesses""
En voilà une façon de parler à un bouton de rose.
Mignonne, m’amie, disait-on dans le temps aux jouvencelles, en combattant à leurs couleurs, ou même en dansant la bourrée.
La grossièreté de langage est corrélée à la télé et à l’immigration massive de basses castes non européennes.
Les pauvres gamines ne savent même plus déceler l’impropriété de langage, encore moins de comportement.
Pour protéger vos fillettes de ces goujats palpeurs et verbeux, mettez-les en contact très tôt avec la poésie, la musique, la littérature, l’exercice physique. Elles ne supporteront pas une minute d’être assimilées à des génisses par de gros saligauds.
Il y a évidemment aussi un problème paternel. La présence du père (pas trop autoritaire quand même) donne à la gamine une assurance et une fierté d’elle-même qui la protègent.