L’Argentine dit "non" à l’avortement
11 août 2018 11:15, par H. K. Daghlian
Le débat n’est pas tant de légaliser ou non l’avortement mais le fait même de se poser la question, qui au fond reflète un aboutissement logique de la société de consommation où tout n’est que chiffre, bénéfice et utilité. L’être humain n’étant plus qu’un tas de cellules empilées et collées, rien ne justifie sa sur-cotation, voire, sa cotation tout court.
Un autre débat est celui de l’héritage de la société et le relais générationnel dans la construction (rompu post 68 un peu partout dans le monde). Pour ne citer que l’exemple des retraites qui n’est rien d’autre qu’un système de Ponzi élaboré, qui a toujours besoin de nouveaux arrivants pour que les plus anciens puissent en bénéficier . J’aimerais bien voir la tête des pro-IVG le jour où on leur dira qu’ils ont tué ceux qui devaient la leur payer dans le ventre de leurs mères et qu’il devront accepter leur vie de clochard, bien méritée.
Quant à l’Argentine, ce n’est que partie remise, les mondialistes reviendront à la charge dans quelques années après avoir bien lavé les cerveaux et censuré ou éliminé certaines voies dissidentes.