De tout cœur dans la mêlée : retour sur le parcours de Georges Bernanos
11 août 2018 08:55, par nvy
Les arrière-petit-fils Antonin et Angel ont trahi Georges.
L’une des raisons en est (j’imagine) qu’ils ne sont qu’en partie français de sang, mal dans leur précieuse petite peau.
Un de leurs acolytes de bonne famille, le "sociologue et philosophe" Geoffroy de Lagasnerie (un jeune morveux aussi) se tweet-offusqua quand Antonin ne fut pas traité selon le rang dû à un "fils de".
"la police a choisi d’agir avec une précipitation absurde, avec brutalité, en venant avec une quinzaine d’hommes, à 6h du matin,en défonçant au bélier la porte de chez sa mère..."
Vapeurs, syncopes.
N’oublions pas qu’Antonin, dont le slip dépassait du pantalon, et qui fut soutenu par toute la valetaille, a tapé sur un policier avec une barre de fer alors qu’un autre incendiait le véhicule de ce policier.
Il a le prénom d’un écrivain devenu fou après prise de psychotropes : Artaud, sans doute plus lu par ses parents que Georges.
Après les manifs incendiaires de bon ton, les frères de bonne famille regagnaient le confortable logis de maman dans le quartier Montparnasse, anciennement peupl" d’écrivains.
Dans n’importe quel pays il aurait eu combien ?
Georges en aurait fait un roman pessimiste.