Didier Deschamps, l’homme d’en bas qui n’aurait pas dû monter aussi haut
17 juillet 2018 09:59, par Ajraarn
La vérité ou le bonheur.
Voilà ce qui résume cette coupe du monde en ce qui me concerne. Une terrible frustration en tant qu’ancien footeux, de me voir totalement indifférent au coup de sifflet final. Là où il y a encore quelques années je serai descendu pour me joindre à la liesse populaire, je me suis contenté de la regarder le cœur lourd.
En tant que catholique traditionnel, je n’ai pas pu célébrer la victoire de cette France, je ne pouvais pas féliciter ces joueurs alors qu’ils "dabaient" avec Macron. Une partie de moi, amoureux de mon pays, le voulait pourtant.
Sentiment ambivalent également en voyant tous ces gens communier dans la joie, en sachant à quel point le système s’en frotte les mains tout en leur pissant dessus. Je suis triste pour eux.
J’attends avec impatience le prochain article de D’Alencourt qui verra sûrement dans cette coupe du monde l’ultime victoire du démon.