Heiko Maas, ministre allemand des Affaires étrangères : "La Syrie n’est pas Auschwitz"
17 avril 2018 20:46, par Takin
J’ai bien aimé le discours de Poutine. Il était jeune et il croyait à cette union Russie Europe. Mais c’était sans compter sur l’hydre hideuse cosmopolite qui règne sur New York, Washington, Londres, qui ne pardonne pas à Poutine d’avoir viré les oligarques communautaires qui pillaient la Russie. Tous les troubles actuels contre lui, son pays, ses alliés, les vilipendes, les coups d’État, viennent de là.
C’était sans compter sur la soumission jouissive de nos larbins de l’UE à l’empire.