À en juger, par ce marqueur social contemporain, qu’est le "monoparentisme" la plupart des femmes qui sont dans ce cas, peinent à vivre décemment. Ce n’est pas moi qui l’affirme, mais la plupart de celles qui doivent élèver seules, leur progéniture.
Cela signifie-t-il que la femme est moins armée, pour faire face à ses responsabilités, à ses devoirs et aux vicissitudes de la vie, une fois que sciemment ou non, elle se retrouve sans conjoint ?
Ce qui induit une autre question : les chances de réussites socio-professionnelles, de la femme, s’amenuisent-elles, à mesure qu’elle prend de l’âge et qu’elle perd de sa "fraîcheur" ?
"Être une Femme libérée, tu sais, c’est pas si facile" ânonnait Cookie Dingler.