En 2012 déjà, Soral avait raison sur Harvey Weinstein
15 octobre 2017 10:46, par sicambreMerci Alain Soral pour cette excellente vidéo pleine de références.
Cette façon de traiter les actrices et acteurs comme des prostitués se répercute dans pas mal d’emplois de services désormais, puisque généralement ceux qui "emploient" les serviciels, ou plutôt les contactent avec le réel employeur, sont soit de la même engeance que Schwein, soit copient son attitude à force de matraquage médiatique. Ce sont les weinstein et les nabillas qui donnent le la.
On voit ainsi des organismes de stages, des intermédiaires de personnel d’accueil, de restaurant ou d’animation commerciale, considérer et traiter le personnel fort mal rémunéré comme des pions jetables et surtout humiliables à volonté, comme des choses, des fainéants, des idiots, des incapables, des propriétés prêtables. Ils ne fouettent pas encore, ce n’est pas l’envie qui leur manque. Ils sont eux-mêmes souvent dix strates au-dessous du serviciel à leurs ordres illégitimes, à tous points de vue, même des diplômes, et adorent faire la leçon sur ce qu’ils ignorent : le travail.
La prostitution est récompensée officiellement, matériellement du moins. Les jeunes filles comprennent la leçon et, tant qu’à faire d’être humiliées, carburent de plus en plus au sugar daddy, parfois pour pas grand chose : un sac, une robe.
Le Français devient un indigne "indigène" chez lui. Redresse la tête fier sicambre !