Ils se sont parlé.
Deux interprétations : 1. verre à moitié plein : tant mieux pour nous, l’Euro-Américain s’entend avec le Russe d’Eurasie, sans intermédiaire malveillant. L’Ouest-Européen, donc le Français, peut y retrouver un encouragement à revendiquer/retrouver sa fierté originelle, abondamment et ouvertement piétinée par la malveillance au pouvoir.
2. verre à moitié vide : tant pis pour nous, ils sont forts dans l’union ces deux-là, et nous voilà tout seuls et tout faibles en proie aux Orientaux cruels, avec leur suite traditionnelle. L’OTAN a les mains libres pour nous imposer ce qu’elle veut, le territoire européen lui est sacrifié, puisque la Russie a réussi à dégager l’OTAN de son propre territoire et de sa propre sphère d’influence.
Connaissant la bête otanesque, nous avons tout lieu de craindre une rage décuplée de sa part, puisque, n’ayant déjà pas de prétexte pour exister, son terrain de jeu se réduit... à nous.